une boutique boudoir
Le 26 février 2020,
la boutique a réouvert ses portes
pour présenter son
nouveau visage.
Sophie Rioufol l’a mûrement pensé et réfléchi, aidé par son ami et architecte David Exbrayat, qui avait déjà réalisé la première version de la boutique en 2005.
Ils ont cherché l’inspiration dans les livres d’art, le cinéma, l’architecture. Obsédée par les couleurs et les matières, Sophie s’est laissé imprégner par l’ostentatoire feutré de Tony Duquette afin de recréer une ambiance chaleureuse et intimiste.
Horaires d’ouverture
lundi au vendredi
10h00 — 19h00

samedi
10h00 — 19h30
De mère en fille

Depuis six ans, c’est Sophie Rioufol qui continue d’écrire l’histoire de l’incontournable boutique de souliers du 58 rue Montmartre, initiée dix ans plus tôt avec Marion, sa mère, fondatrice des boutiques Freelance dans les années 80.

Si elle en garde l’ADN, cette ancienne comédienne propulsée à devenir gérante, apprend sur le tas, ne compte pas ses erreurs et devient, forte de son investissement et de son expérience, une entrepreneuse capable d’apporter sa modernité, sa vision et sa touche, au service de toutes les femmes.

Sophie Rioufol est une fille de son temps, 58m va fêter ses 10 ans lorsqu’elle en prend les commandes. Elle marque le coup en célébrant l’événement, Sophie est de celles qui savent rassembler : créateurs, artistes, journalistes, tous sont au rendez-vous.

“Un havre luxuriant pour se
retrouver entre femmes, échanger,
essayer et surtout, se sentir le temps
d’une visite chez 58m,
un peu chez soi.”
une vision inspirée

Dans les films, les fleurs, les livres, Sophie s’inspire parvient à créer l’harmonie en racontant une histoire entre les murs de sa boutique.


Dénicheuse de tendance, elle n’hésite pas à prendre des paris et à mettre en lumière des marques confidentielles, guidée par sa curiosité et son souci du détail.


Exigeante elle s’attarde sur la fabrication de ce qu’elle vend, incollable sur la provenance de chacun de ses produits, du cuir jusqu’aux talons.

“Sophie est de celles qui savent
rassembler : créateurs, artistes,
journalistes...”